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![]() Sa mort a été à l'exemple de sa vie, faite de confiance en Dieu, d'acceptation de sa volonté et de fidélité dans le travail qui lui était confié. Les évangiles de St Marc et de St Luc nous le présentent, en effet, comme le grand silencieux. Non pas comme celui qui n'a rien à dire, mais comme celui qui ne discute pas pour assumer ses responsabilités d'époux, de père et de protecteur de la famille qui lui est confiée. Il a affronté la mort avec ces dispositions qui ont dirigé sa vie. Nous le savons, il accepte sans discussion, à la suite de la révélation de l'Ange du Seigneur, d'accueillir chez lui la Vierge Marie enceinte sous l'action de l'Esprit Saint. Cette conception, sur le moment, est plutôt encombrante puisqu'ils doivent se faire recenser à Bethléem. Et cependant Joseph y va avec Marie. La naissance de Jésus ne se fait pas sans problème mais Joseph fait face à ses responsabilités. Les bergers en sont les témoins puisqu'à à la crèche de Bethléem "ils trouvèrent Marie, Joseph et le nouveau-né couché dans une mangeoire" (Lc 2, 16). Huit jours après la naissance, l’Enfant nouveau-né reçoit le Nom de Jésus au cours de la fête de la circoncision. |